Oh ! Combien …..
Au nom de la bêtise
Proche du Fascisme
Se covide l’irrationalité
Et mémé meurt ignorée.
Il était grand temps
On l’aime bien, et pourtant
Il faut bien vendre la maison
Charognard devient l’enfant
Au nom de la bêtise
Proche du nazisme
Se covide la délation
Ouvrons grands les camps
La voisine est suspecte
Jeune fêtarde criminelle
Tuons donc cette jouvencelle
L’infante assassine malgré elle…
La grand-mère enfermée en tourelle
Le masque impose, dispose, indispose
Jeté à la rue, il fleurit le macadam
Et dépositaire d’une belle morale
Oblige le poète à se taire, à faire pause.
Alors,non, je ne me tairais pas.
Moi, j’ai envie que mémé vive
Je ne veux pas, sur son héritage survivre
J’ai juste envie, de la serrer en mes bras
Prendre, le temps d’un silence
Et, puis d’une manière tendre,
Lui serrer la main.
Lui dire…tu sais…juste lui dire
Oh ! Combien je l’aime…
Juste lui dire…
Oh ! Combien…
Bleiz Du
Au nom de la bêtise
Proche du Fascisme
Se covide l’irrationalité
Et mémé meurt ignorée.
Il était grand temps
On l’aime bien, et pourtant
Il faut bien vendre la maison
Charognard devient l’enfant
Au nom de la bêtise
Proche du nazisme
Se covide la délation
Ouvrons grands les camps
La voisine est suspecte
Jeune fêtarde criminelle
Tuons donc cette jouvencelle
L’infante assassine malgré elle…
La grand-mère enfermée en tourelle
Le masque impose, dispose, indispose
Jeté à la rue, il fleurit le macadam
Et dépositaire d’une belle morale
Oblige le poète à se taire, à faire pause.
Alors,non, je ne me tairais pas.
Moi, j’ai envie que mémé vive
Je ne veux pas, sur son héritage survivre
J’ai juste envie, de la serrer en mes bras
Prendre, le temps d’un silence
Et, puis d’une manière tendre,
Lui serrer la main.
Lui dire…tu sais…juste lui dire
Oh ! Combien je l’aime…
Juste lui dire…
Oh ! Combien…
Bleiz Du